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| Sujet: A six, ils ont violé une handicapée mineure Dim 28 Juil - 11:45 | |
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D. Ha. Publié le vendredi 26 juillet 2013 à 05h38 - Mis à jour le vendredi 26 juillet 2013 à 14h31
Faits divers Violée sur le chemin de la boulangerie par six mineurs en moins de douze minutes...
L'horreur n'a décidément pas de limites. Six ados tous âgés de 16 ans ont violé une handicapée mentale de 15 ans le 9 avril 2011. On n'en avait pas entendu piper mot jusqu'alors. Retour à présent sur leur crime odieux.
Séquestrée dans un immeuble schaerbeekois alors qu’elle se rendait à la boulangerie, la victime a confié qu’elle avait été forcée ce jour-là par "deux devant et un derrière".
L’un "a mis son zizi dans mon vagin" pendant qu’un autre me pénétrait "dans ma partie anale". "Je leur ai dit que j’étais réglée mais cela n’a rien changé."
Une scène qui s’est déroulée en matinée à huis clos en moins de douze minutes, soit de 11 h 27 à 11 h 39 comme ont permis de le déterminer des images de vidéosurveillance.
Des déclarations qui ont également pu être objectivées sans le moindre souci puisque aucun de nos violeurs n’avait pris la peine d’utiliser un préservatif.
Aujourd’hui, seul l’instigateur de ce viol collectif s’est récemment vu condamner comme un majeur parce que le tribunal de la jeunesse s’est au final dessaisi de son cas.
Dans la foulée, un juge d’instruction l’a placé courant du mois de mars 2013 sous mandat d’arrêt. Notamment en raison de son absence de remise en question.
Ses complices ont quant à eux eu la chance de faire l’objet de mesures protectionnelles.
"J’ai rencontré la jeune fille dans la rue. Je ne l’ai pas forcée. Je voulais m’amuser avec elle. Quand j’ai vu sa tête, je n’ai plus eu envie. Je ne la trouvais pas jolie. Je suis donc parti me faire couper les cheveux", avait soutenu en substance le bourreau lorsqu’il était encore mineur.
"Je me suis vanté d’avoir baisé la jeune fille devant les copains, mais c’était faux. Je l’avais juste embrassée et lui avais caressé les seins. C’est elle qui m’a abaissé le pantalon et m’a dit : Baise-moi." Celui-ci avait ensuite fini par admettre avoir eu droit à une fellation avant de se rétracter.
Devant le tribunal correctionnel, l’énergumène, tout juste majeur à présent, est en effet revenu sur ses déclarations pour affirmer qu’il avait reconnu les faits à l’époque "uniquement parce que les policiers avaient dit que c’était préférable".
Précisons que celui-ci était au passage jugé pour deux autres préventions. Non seulement un vol avec effraction commis en février 2011 au préjudice d’une asbl œuvrant pour le développement de la femme socialement fragilisée mais aussi un rodéo au volant d’une voiture volée en mars 2011.
Pour l’anecdote, l’individu n’a pas non plus reconnu son vol avec effraction même si ses complices l’ont dénoncé.
Quant à son rodéo à bord d’un véhicule volé… "Un Polonais que je connais de vue m’a donné les clés et demandé si je pouvais aller la garer", s’est-il en substance justifié.
"C’est bien connu que les Polonais donnent leur clé de voiture en rue", a, non sans humour, relevé le substitut du procureur du Roi, Julien Moinil.
Le tribunal a donc estimé que les explications du prévenu manquaient "de toute crédibilité" et l’a condamné ce 28 juin à 75 mois de prison ferme dont soixante pour sa participation au viol collectif.
Même si son avocate lui a formellement déconseillé de s’opposer à ce jugement, notre condamné a décidé d’aller en appel. Reste donc à voir si la cour d’appel le condamnera aux 7 ans de prison qui avaient initialement été requis à son encontre.
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